Des tonnes d'ordures s'accumulent depuis une dizaine de jours dans les rues de Cochabamba, quatrième ville de Bolivie, en raison du blocage de la principale décharge par des riverains dénonçant sa saturation, ce qui fait craindre aux autorités une crise sanitaire.
"Ce pourrait être le début" de cette crise de santé publique, a averti mercredi auprès de l'AFP Rubén Castillo, épidémiologiste au sein du service départemental de santé.
Les cas de diarrhées ont augmenté de 7% la semaine dernière et les cas d'hépatite A de 55%, selon les données du service.
Un terrible accident de la circulation a eu lieu dans le sud de la Bolivie, près de la ville d'Uyuni. Il s'agit de l'accident le plus grave de l'année.
Un terrible accident de la circulation a eu lieu dans le sud de la Bolivie, près de la ville d'Uyuni. Il s'agit de l'accident le plus grave de l'année.
L'accident, le plus grave depuis le début de l'année, s'est produit ce samedi 1er mars au matin sur une route étroite à double sens dans le sud du pays. Pour l'heure, au moins 37 personnes sont mortes.
Dévorée il y a moins d'un an par les pires incendies qu'a connus la Bolivie, la végétation reprend lentement autour des champs de sésame de Julia Ortiz, une agricultrice indigène de la région de la Chiquitania, dans l'Est du pays.
Alors que sa communauté mise sur une méthode innovante de reforestation à l'aide de "bombitas" (petites bombes) en terre remplies de graines et projetées par drone, les troncs calcinés à ses pieds témoignent d'un récent brûlis.
La pratique, qui consiste à brûler une parcelle pour ensuite pouvoir la cultiver, est parfois à l'origine de violents incendies, notamment depuis que les épisodes de sécheresse s'intensifient et se prolongent sous l'effet du changement climatique, selon les scientifiques.
L'ancien président bolivien Evo Morales, qui cherche à revenir au pouvoir, dénonce une « justice partiale et soumise » au gouvernement de son ancien allié Luis Arce, après l'émission d'un mandat d'arrêt à son encontre pour traite de mineure.